Ton parcours motard?

J’ai longtemps été passagère puis, après une pause, je suis rentrée dans un moto-club pour y être bénévole et à nouveau me faire porter. J’ai eu beaucoup de plaisir en tant que seconde de selle mais j’ai eu l’envie de devenir pilote pour découvrir d’autres sensations et aussi devenir autonome.
J’ai obtenu mon permis en 2010 ce qui a été une grande victoire car malgré les encouragements des potes motards c’était très difficile. En post-permis c’était aussi un peu un désenchantement car les obstacles étaient encore nombreux, le chemin de la félicité m’était encore caché pendant bon nombre de kilomètres. La trajectoire en virage en particulier me laissait perplexe. J’ai d’ailleurs eu une chute après un « tout droit » en virage, renforçant mon inquiétude. Mais j’ai persévéré et pu finalement faire quelques « balades » en Aveyron, en Corrèze et au Pays Basque… de quoi soigner mon inquiétude des virages !

Pourquoi es-tu venu(e) à la Casim ?

Quand j’ai entendu parlé de la CASIM, j’ai pensé que ça correspondait justement à mon envie d’intégrer à nouveau une association motarde, de rouler en groupe (pour le partage) et également mon besoin de me perfectionner : un tout en un, en somme !
Que t’a-t-elle apporté ?

Je n’y suis que depuis la rentrée 2014 alors pour l’instant je ne peux que entrevoir l’aspect positif de la formation recherchée.

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