1. Ton parcours motard ?
Depuis enfant avec mon frère (de trois ans mon aîné), nous aimons la moto. J’ai commencé à 14 ans avec un MotoGuzzi 50 cross. A 16 ans, je faisais du moto cross avec une Yamaha 125 YZ. Puis à 23 ans, je suis parti pour Paris où je roulais sur une Kawasaki 125 KMX. En 1994, de retour en Dordogne, je roule sur une Honda 650 CBX, puis en 2000 sur une Suzuki 550 GSX, en 2001 une Suzuki 1200 Bandit S, et en 2005 ma Yamaha XJ 900 Diversion S qui me supporte encore et un HONDA 125 XLS pour aller aux Millevaches.
J’ai le permis gros cube depuis décembre 1983 (34 ans ! ) avec 200.000 km environ et deux gamelles conséquentes, je ne parle pas des petit accrocs.
En 1991, la roue avant de la KMX qui glisse en plein milieu de la circulation à Paris, c’est flippant.
En 2011, la Diversion finit sous une Renault Scenic à Périgueux.
Pour le trip effectivement je me suis régalé aux « millevache Authentique en 2013 » sous la neige et aux « millevache Meymac 2017» cette année sous la neige . Gros gros frissons sur la route du retour avec ma 125 xls de 1990. Vent très très fort route gelée et pluie et neige mélangées, j’ai pensé très fort aux conseils de la Casim33 mais ça ne guéri pas tout. Une fois à la maison j’étais très fier de moi (et de vous aussi) !
J’ai deux rêves moto. Un atteignable, c’est de faire la fameuse route 66 aux Etats Unis. Le deuxième inatteignable c’est, un jour, de poser le genoux par terre dans un virage sur circuit et de ne pas tomber, mais là c’est une autre histoire…
2. Pourquoi es-tu venu à la Casim ?
Suite à une balade de trois jours au Pays Basque avec mon moto club (LEÏ BIROLS, en Dordogne). Je suivais une jeune motarde qui roulait comme sur un rail avec sa BMW F700. Après avoir discuté avec elle (Laurence B), celle-ci me donne votre contact et malgré mes 34 ans de permis, je me suis remis en question et me voici avec vous depuis septembre 2017.
3. Que t’a-t-elle apporté ?
De la remise en question et la redécouverte de bases que j’avais complètement oubliées.
4. Si tu as un(e) passager(e), quelles remarques depuis que tu es CASIMir ?
En peu de temps, elle a remarqué plus d’assurance en moi, ce qui la détend et me facilite la conduite à deux.
A noter qu’on rencontrera ce CASIMir à la CASIM 24 😉