Ton parcours motard ?
En 95, j’ai profité de la loi autorisant la conduite d’un 125 avec mon permis voiture. Même si à ce moment là aucune autre formalité n’était exigée, il m’a semblé logique de prendre deux heures de leçon.
J’ai roulé tous les jours durant quatre ans d’abord avec un CB 125 puis avec un custom, un bicylindre quand j’ai ressenti le besoin de passer au gros cube, pour l’énergie, la sécurité aussi.
J’ai obtenu mon permis avec grande facilité en 2001, sans doute que l’expérience de la 125 m’a aidé ?!
J’ai alors eu une 750 Guzzi Nevada puis une 650E CX Honda et finalement la BFG. Ce que j’aime le plus, ce que je recherche dans une moto c’est le couple, plus que la vitesse de pointe.
En moto (comme en voiture d’ailleurs), ce qui me plait c’est les anciennes machines. Du coup mon voyage le plus remarquable à mes yeux c’est quand je suis allé à Dijon pour la Coupes Moto Légende : un régal, une chose à faire au moins une fois dans sa vie !
Ma première frayeur c’était quand sur une route mouillée j’ai dû faire un freinage d’urgence à l’entrée d’un rond point : freinage de l’avant + la roue tournée = moto par terre !

Pourquoi es-tu venu(e) à la Casim ?
Après ma première chute, mon mécano faisait parti de la CASIM44 alors c’est comme ça que j’ai découvert cette super asso’ qui m’a beaucoup apporté. Malheureusement j’ai du déménager à Bordeaux et il a fallut attendre qu’une antenne s’y ouvre. Après 8 ans d’interruption moto pour des raisons familiales, je n’y tenais plus, il fallait que je m’y remette. J’étais alors bien content de retrouver une CASIM en Gironde pour me perfectionner d’abord mais aussi pour la convivialité de l’esprit club.

Que t’a-t-elle apportée ?
Elle m’a apporté plus d’aisance. De l’amitié aussi, les bons moments partagés entre motards (le week end montagne en a été que plus riche!).

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