1. Quel est ton parcours motard ?

J’ai commencé en scooter pour aller au lycée.

En 2014, j’ai obtenu mon permis gros cube A2, mais en suivant, je suis parti un an au Canada. Ce n’est qu’à mon retour que je me suis remis au deux-roues.

J’ai d’abord récupéré la 125 de ma mère, un CM 125 Honda de 1983. Chouette, mais pas étanche du tout : elle tombait systématiquement en panne dès qu’il pleuvait. Je me souviens d’une fois où j’ai dû la pousser sur le bord d’une route limitée à 90 km/h… de nuit : hyper sécure !

Au bout de quelques mois de blagues avec cette machine, j’ai voulu voir si on pouvait rouler sous la pluie et c’est depuis 2015 que je roule avec mon ER6, quelle que soit la météo !

Je n’ai pas encore rencontré de difficulté particulière en moto si ce n’est que je me retrouve souvent sur des routes « alternatives » à l’insu de mon plein gré… non, je ne me perds pas, je visite !

Je roule environ 5 à 6.000 kilomètres par an et pour l’instant, mon voyage le plus long et le plus notable est la reco’ pour le séjour Montagne 2017, soit environ 1.000 km de virages en tout genre en trois jours.

2. Pourquoi es-tu venu à la Casim ?

Je l’ai connue par ma mère qui est une CASIMirette et formatrice. A ses yeux, c’était indispensable et non négociable : pas de moto sans CASIM ! Elle m’en a surtout beaucoup vanté les mérites. Ça correspondait aussi à mon point de vue : j’y suis venu pour acquérir plus d’expérience, mieux connaître mes capacités. Après un an d’arrêt juste après le permis, pour m’y remettre intelligemment, c’était une décision d’autant plus logique, cohérente.

3. Que t’a t’elle apportée ?

Je suis certain que je ne conduirais pas aujourd’hui comme je le fais sans la CASIM. C’est un vrai accélérateur d’expérience grâce aux ateliers théoriques et pratiques.

4. Pourquoi te réinscrire ?

Déjà pour l’ambiance mais aussi parce qu’on a tout le temps des choses à apprendre et que je pense qu’il est important de continuer à s’exercer.

5. Tu es bénévole à la commission Communication et Aide-Encadrant: pourquoi t’investir dans cette asso ?

Parce que c’est une asso’ très utile. Il faut aider pour que d’autres en bénéficient aussi, comme ça été le cas pour moi.

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