Ton parcours motard ?
Aussi loin que je me souvienne, depuis tout petit, j’ai toujours été attiré par la moto. Enfant, je collectionnais les articles d’un magazine TV qui présentait une moto chaque semaine.
Je n’ai pas eu le droit d’avoir de « mob », alors j’ai patienté… A 17 ans, j’ai enfin pu goûter au plaisir du 2 roues, sur une Yamaha 125 DTMX.
Ce n’est que trois ans plus tard que j’obtenais le sésame pour les gros cubes.
Je ne suis pas un gros rouleur (5000 km/an environ, et si possible par temps sec).
Ma première machine était une Honda 600 XLM, une occasion qui correspondait à mon budget. Je suis ensuite rapidement passé sur un 600 Transalp (bien plus agréable).
Ensuite, j’ai eu successivement : Kawasaki 1000 GTR (la GT du tour de France…), Kawasaki 1100ZZR (la patate !), Suzuki SV 650 N (plus raisonnable,
mais très sympa), Kawasaki 1200 ZRX.
Puis suite à un cumul de circonstances (notamment plusieurs accidents moto de copains, dont un fut fatal), pour rassurer mes proches, j’ai interrompu mon parcours motocycliste.
C’est après cinq ans de coupure que je me suis remis en selle. Ce retour s’est fait sur une BMW R1100R.
Je disais à mes amis qui roulaient BMW à cette époque, « je roulerai en BMW quand je serai trop vieux pour faire de la moto ». Bon, maintenant, je leur dit que seuls les imbéciles ne changent jamais d’avis… De plus, l’achat de cette moto m’a permis de faire une rencontre très enrichissante (le
gendarme motard qui avait créé les stages de sécurité moto à Mont-de-Marsan).
Quelques mois plus tard, je faisais le stage à Mont-de-Marsan.
Actuellement, je roule en BMW R1150R.
Pendant toutes ces années, quelques frayeurs, mais une seule grosse chute dans les Pyrénées l’an dernier, tout seul, à vitesse lente (fatigue et manque de sommeil), je pense que certains Casimirs s’en souviennent…
Pas de grand voyage effectué, mais c’est en préparation.
Pourquoi es-tu venu(e) à la Casim ?
Après le stage à Mont-de-Marsan, j’ai ressenti le besoin de continuer à m’entraîner et améliorer ma conduite.
C’est un collègue de travail qui m’a parlé de la Casim. La première saison étant complète, j’ai dû attendre la suivante pour pouvoir l’intégrer.
Mon attente : m’améliorer et progresser. Et pourquoi pas, plus tard, devenir encadrant ?
Que t’a-t-elle apporté ?
Ce que j’ai trouvé en venant à la Casim : des bénévoles motivés, des exercices pratiques et des cours théoriques qui m’ont permis de progresser et gagner en aisance, des balades en groupe. Et tout ça dans la bonne humeur.