Ton parcours motard ?

Mises à part quelques mobylettes quand j’étais adolescent, pas d’expérience avant d’aller passer mon permis gros cube en 1987. A ce moment-là, je bénéficiais encore de mon code, passé moins de 5 ans avant pour le permis voiture ce qui me simplifiait la tâche. D’autres projets (enfants, maison) ont relégué l’achat de la première moto à plus tard… nettement plus tard : en 2010 !
Déjà sensibilisé à l’importance de la sécurité en moto, j’ai budgété avec l’achat de la monture, quatre heures de conduite en moto-école pour me remettre en selle et un équipement de la tête au pied. J’ai trouvé la moto de mes rêves, mon Bandit, au bout de ma rue ou presque : à 300 mètres de chez moi.
Ça tombait bien car jamais cette distance ne m’a paru plus longue que ce jour là, je ne faisais pas le fier ! Cela confirmait la nécessité des cours en moto-école, mais au bout de deux heures de leçon, le moniteur m’a encouragé à me lancer dans le grand bain.
Puis je roulais trop peu à mon goût : à peine les 4 kilomètres pour aller au travail et quelquefois le dimanche, un peu léger pour se constituer une expérience solide.
Je manquais vraiment de confiance dans mes compétences, mais avais très envie d’y remédier !

Pourquoi es-tu venu(e) à la Casim 33 ?

J’ai fouillé le Net, vu beaucoup de vidéos, mais ça me semblait insuffisant, rien ne vaut la rencontre en vrai, le partage d’expérience. Je cherchais un groupe avec lequel rouler en sécurité, qui pourrait me guider, m’initier, me transmettre. C’était compliqué, mais j’ai fini par trouver un club très sympa, des motards très accueillants que j’ai eu plaisir à rencontrer. Mais une fois en balade, ça roulait encore trop vite à mon goût, surtout que j’étais à la fin du groupe. Pas si simple de s’intégrer dans un groupe qui a l’habitude de rouler ensemble, j’ai préféré éviter de leur imposer mon inexpérience.
De vidéo en vidéo, je suis tombé sur celles de Fabien (FlatFab), son site, puis celui de la CASIM.
Il m’a semblé que cette asso allait me permettre de trouver ce que je cherchais : me perfectionner, rencontrer des vrais gens, partager des expériences et avoir des conseils également pour mon équipement.

Que t’a apporté la Casim 33 ?

Avant de pouvoir intégrer le groupe des stagiaires, il a fallu que j’attende la rentrée 2015, mais dès janvier, j’ai assisté aux CPM en tant que spectateur, ce qui m’a déjà permis d’entendre les recommandations. Et puis, surtout, partager ces moments avec les CASIMirs, ces passionnés, dans cette bonne humeur, c’était déjà très chouette. Le moins qu’on puisse dire, c’est que j’étais impatient de pouvoir accéder aux CPM pratiques.
Aujourd’hui, j’ai acquis plus de confiance et donc plus de plaisir.

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