Ton parcours motard ?
Il y a encore quelques années, jamais je n’aurai pensé être motarde un jour ! Mais la patience de mon mari, motard depuis plusieurs années, pour me mettre en confiance quand j’étais derrière lui sur sa moto, a eu gain de cause. Tout d’abord, j’ai connu le plaisir de me faire balader et puis un jour de l’été 2011, ce fut le déclic, j’ai eu l’envie farouche de piloter moi-même une moto. Mais je me disais d’abord que c’était une idée utopique et pas réalisable à mon âge. Pourtant, l’idée était bien germée et gagnait en force et en intensité.
Je me suis inscrite à la moto-école début 2012 et exultait de joie en l’annonçant à mon mari le soir même !!! J’ai eu mon permis en juillet 2012.
Depuis, je roule dès que je peux. Entre l’envie de rouler et avoir le temps pour rouler, pas toujours facile de tout concilier. Je ne peux pas me déplacer en moto dans le cadre professionnel, donc ça limite un peu mais je m’en sers en loisir le plus souvent possible : 5000 à 6000km/an environ.
Rocade, un peu d’autoroute, ville et surtout routes de campagne sont mes parcours les plus fréquents.
Pas beaucoup de grand voyage à mon palmarès…. Mais presque toutes les balades de la Casim , quelques allers-retours en Lot-et-Garonne et aussi sur
le circuit de Nogaro ou Le Vigeant (en tant que spectatrice), et le WE montagne l’an dernier.
Outre la ER6N de la moto école, j’ai commencé avec une Suzuki Gladius (bicylindre de 650 cm3, 72 ch) que j’ai gardé 18 mois.
Depuis janvier 2014, je roule avec ma Honda Hornet (4 cylindres 600 cm3, 102 ch).

Pourquoi la CASIM ?
C’est en cherchant des cours de perfectionnement que j’ai découvert Fabien qui m’a bien sûr parlé de la Casim.
J’ai adhéré de suite à l’idée d’être une Casimirette, depuis septembre 2013 jusqu’à présent.
Je cherchais à être plus à l’aise et plus en confiance sur ma moto.

Que t’a-t-elle apportée ?
La Casim m’a déjà apporté beaucoup l’an dernier (position sur la route : dynamisme, virage, maniabilité sont des domaines où maintenant je me sens vraiment plus à l’aise et en confiance. Rester à la Casim c’est progresser encore, dans un cadre sécurisant et convivial.

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