Ton parcours motard ?

Je suis venue à la moto après avoir été « Sac De Sable » (passagère) pour retrouver les sensations du parapente sans les frustrations dues à la météo.

La moto pour moi, c’est comme beaucoup d’autres choses, c’est venu sur le tard, comme un défi pour mes 50 ans.

J’ai commencé en 125 YBR Custom pendant deux ans, pour la prise en main facile, pensais-je, et déterminer si « la moto » me convient avant de me lancer dans la grande aventure du permis gros cube. Après 7 heures de formation 125 en moto-école… quelle galère !!! Alors je me suis inscrite à la FFMC après une AG de la Mutuelle des Motards. J’ai bien été encadrée lors des balades moto, avec quelques difficultés de démarrage en côte. Mais ça m’a donné envie de passer le permis gros cube.

Le grand saut en 2015, mais ce permis… quelle galère encore ! Le plateau lent, le point de patinage, l’évitement… pff, j’ai failli tout arrêter, mais je me suis accrochée et finalement, j’ai obtenu le précieux sésame, et du premier coup ! Qui l’eut cru ? Pas moi ! Depuis, j’en suis déjà à 10.000 km parcourus.

Pourquoi es-tu venue à la Casim ?

Déjà en 125, je cherchais sur le Net des infos pour me sentir à l’aise en moto et j’ai souvent consulté le site de Fabien (https://www.facebook.com/PassionMotoSecurite/?fref=ts) qui m’a beaucoup aidé, y compris pour mon passage de permis (Merciii! ).

Et depuis son site, des infos sur la CASIM.

Comme pour moi, le perfectionnement est une évidence, la CASIM répondait à mon besoin de perfectionnement continu, sur toute l’année.

Bien que j’ai hésité avec un perfectionnement en moto-école ponctuel mais personnalisé.

Après le passage de permis, je me suis remotivée pour trouver une moto, mais quand je conduisais mon GS, si différent de l’ER6 de la moto-école, je n’avais qu’une peur : la faire tomber ! C’est ce qui m’a amené en particulier à la CASIM.

Que t’a-t-elle apportée ?

Beaucoup de choses : du plaisir à faire des exercices de mania! Si, si!

De la sérénité et de la confiance en moi. La possibilité d’échanger, de parler de ses difficultés ou angoisses avec d’autres CASIMirs, le partage d’expérience. C’est vraiment chouette d’être encouragée par tous les encadrants, assistants et les autres stagiaires.

Pourquoi te réinscrire ?

Parce que je mesure les progrès réalisés. C’est très encourageant et je vais poursuivre, continuer, persévérer…

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