Quel est ton parcours motard ?
Mon expérience du deux-roues moteur a commencé à l’âge de 17 ans, quand je me suis offerte mon scooter 50 cc que j’ai gardé presque quatre ans.J’ai donc appris à conduire à Paris avec lui.
Ma première expérience motarde a été en tant que passagère où j’accompagnais mon meilleur ami à ses excursions de son club GSR en région parisienne. On a fait de nombreuses balades, notamment à Deauville ou des soirées tentes/barbecues dans les bois. Après, l’ambiance n’était pas tout à fait la même car l’objectif était plus de se retrouver que de rouler. Cela m’a tout de même confirmé mon envie d’en être ! Surtout que mon père aussi est un fana de Harley Davidson. Ce n’est pas la même catégorie, mais à son âge, ça se comprend ! (oups, désolée si je froisse mes aînés 🙂 )
J’ai donc passé mon permis en 2008 pour passer aux choses sérieuses.
J’ai eu une ER5 pendant deux ans sur Paris pour aller en cours et m’amuser un peu. Un jour, j’ai décidé d’arrêter car je me suis rendue compte que pour avoir du plaisir à conduire, il fallait que je me fasse peur. Ce n’était pas une bonne chose de devoir aller vite pour ressentir quelque chose. C’était donc le bon moment pour faire une petite pause.
Ensuite, j’ai déménagé en 2013 à Bordeaux (Le Haillan, en fait) et l’achat d’un deux-roues, vu les bouchons quotidiens sur la rocade, était devenu indispensable pour ne pas mettre deux heures pour aller au travail ! J’ai donc fait un choix à moitié assumé, celui de prendre un scooter Aprilia 300. J’avais fait ce choix par confort et facilité de transport de mes affaires, avec pour objectif d’aller à la plage régulièrement. Mais en vrai, on se rend rapidement compte en fait qu’on n’y va pas si souvent.
J’en suis revenue en avril dernier où je l’ai revendu pour m’acheter la Hornet, une des motos de mes rêves ! Je pense que c’est aussi un peu grâce à la CASIM car j’ai pris connaissance de votre association pendant ma période scooter et vos activités avaient l’air chouettes, mais pas possibles en scooter :(.
Je n’ai jamais eu d’accident grave, mais en ai vécu un par le biais d’un de mes meilleurs amis qui a su s’en sortir, même s’il en a toujours des séquelles… Moi, « j’aime » les chutes à l’arrêt : le pied qui glisse, le rapport qui saute, les erreurs d’inattention, etc. Mais ça fait peur quand même ! Et c’est donc pour ça que je suis aussi parmi les Casimirs maintenant 🙂
Pourquoi es-tu venue à la Casim 33 ?
Comme dit avant, j’aime pouvoir maîtriser ma moto et avoir des sensations sans me mettre en danger (non maîtrisé surtout).
J’ai connu la Casim 33 grâce à un de mes anciens collègues qui est un Casimir encore aujourd’hui.
Que t’a-t-elle apportée ?
Pour le moment, c’est encore le début, mais elle m’apporte un objectif déjà et c’est chouette de sortir la moto pour « jouer » un peu avec, sans faire des choses idiotes.
Je suis bien contente de pouvoir maintenant faire l’amazone 🙂