1) Ton parcours motard ?
J’ai obtenu mon permis en 2012 et depuis je roule en Bandit 650 N.
Jusqu’à présent je parcourais environ 4000 km par an mais depuis que j’ai rejoins la CASIM 33 je pense avoir pas loin de doubler ce chiffre. Jusqu’à présent mon plus grand parcours et le plus notable est le week-end reco’ en Montagne avec la CASIM soit environ 1000 km de virages sur 3 jours. D’ailleurs je pense qu’aujourd’hui ma plus grande difficulté sera de me ré-habituer aux lignes droites ;-).
Jusqu’à présent je pense que les difficultés que je pouvais rencontrer étaient surtout dues au fait que je fixais le danger qui m’inquiétais. J’ai bien compris maintenant que « je vais où je regarde » et donc qu’il faut regarder où tu veux aller et non où tu crains d’aller ;-).
J’aimerais bien changer de moto pour en avoir une plus confortable, surtout que j’adorerais partir plusieurs jours à l’aventure, avec sac à dos, toile de tente, en bivouac quoi.
2) Pourquoi es-tu venu(e) à la Casim ?
J’ai connu la CASIM grâce à des copains qui y sont adhérents en Bretagne.
Je m’y suis inscrit pour acquérir plus d’expérience, pour être plus à l’aise sur ma moto face aux difficultés qu’on peut rencontrer.
3)Que t’a t’elle apportée ?
Je suis plus à l’aise sur ma moto parce que je la comprends mieux, à basse vitesse aussi grâce aux exercices. Je me souviens qu’il y a juste quelques mois j’avais besoin d’un périmètre de sécurité autour de moi, si un motard se positionnait trop près de moi j’étais inquiet. Dès à présent je mesure mes progrès, parce que je cerne mieux l’équilibre de ma moto, même au feu rouge, un copain peut s’approcher pour me parler sans que je n’imagine un désastreux effet domino ! J’ai aussi une idée plus juste et précise des risques auxquels je n’aurais pas forcement pensé grâce au partage d’expérience des plus aguerris.
4) Tu fais parti de la Commission Loisirs : pourquoi t’investir dans cette asso ?
Une asso’ qui permet de progresser ? Ce serait dommage de ne pas l’aider à se pérenniser et c’est donc l’affaire de chacun, non ?! J’avais cette idée en tête avant de m’inscrire mais je voulais d’abord voir ce qu’il en était. Dès la fin de la première journée j’étais convaincu et savais que si on pouvait avoir besoin de moi, j’irais volontiers aider. Déjà pour rendre un peu de ce qu’on me donne !