Ton parcours motard ?
J’ai passé mon permis en 1995 sur une XT 600, c’était une des motos classiques pour la formation.
J’ai démarré sur un Yamaha XTZ 660 que j’ai épuisé et revendu à plus de 80.000 km : normal, c’était mon seul véhicule en toutes saisons. Ensuite, j’ai passé un petit moment sur une Yamaha 900 Diversion (arf, le cardan, quel bonheur !) avant un arrêt prolongé (enfants, travail, maison…).
Pour reprendre, j’ai opté pour la sagesse et je suis passé sur un Bandit 650S.
Aujourd’hui, je roule en XTZ comme à mes débuts : comme quoi, si la soupe est bonne, on y revient.
Pourquoi es-tu venu(e) à la Casim ?
Après un premier stage de perfectionnement avec l’AFDM, j’avais déjà l’idée qu’un bon nombre de choses devaient être entretenues et améliorées par un entrainement hors circulation.
J’étais déjà convaincu de l’utilité d’une formation continue au long de l’année quand j’ai entendu parler de la création prochaine de la CASIM 33 par un copain motard. J’avais prévu d’accompagner Madame qui en ressentais le besoin.Le temps de se décider, c’était trop tard, direction la liste d’attente. Le comble c’est que j’ai réussi à me vautrer deux fois pendant cette attente…
Que t’a-t-elle apporté ?
L’entraînement recherché et des rencontres permettant de rigoler un bon coup au milieu d’une bande d’hurluberlus qui jouent les acrobates sur plateau, voire en trial.