Portrait de Sandrine alias « Didi », Secrétaire CASIM France, qui est sac de sable de Cédric en Hayabusa

1. Ton parcours motard?

Bien que je ne sois pas motarde, j’adore rouler avec mon homme!

Vous m’auriez dit ça il y a quelques années, j’aurais rigolé et encore plus la première fois que je suis montée avec lui. C’est simple, quand je suis descendue, je ne pouvais plus avancer, les jambes étaient tétanisées! Mais il a bien fallu s’y mettre car nous avions un long périple de prévu puisque nous avions décidé de descendre dans le Sud. Alors on l’a fait et on a même prolongé notre séjour en descendant un peu plus bas que prévu car nous avions rencontré un groupe de motards qui nous ont invités à crécher chez eux. Trois ans plus tard, ils sont des amis et sont même venus à notre mariage!

Zéro frayeur, car je connais le pilote et je sais qu’il fait attention et roule tout en prudence. Moi je fais aussi attention à me comporter comme il faut car un sac de sable dirige aussi la moto d’une certaine façon.

Ah oui, c’est une belle bête, cette monture (même si mon homme aussi, je parle là de la moto) puisque nous roulons en Suzuki Hayabusa.

2. Pourquoi es-tu venue à la Casim?

Je suis venue à la CASIM pour apporter mon «témoignage» de sac de sable, et puis même si je n’ai pas le permis, j’estime faire partie de la famille motarde.

3. Que t’a-t-elle apportée?

Les ateliers qu’on a fait en duo m’ont permis d’être beaucoup plus souple en tant que passagère, ce qui est forcément beaucoup plus agréable pour le pilote.

4. Pourquoi t’investir dans cette association?

L’année dernière, j’étais secrétaire de la CASIM 35 et de la CASIM France.

Cette année, je suis restée engagée à la 35 pour aider à la préparation de certains événements, mais ayant déménagé dans un autre département, j’ai quitté mes fonctions administratives. Par contre, je me suis représentée au poste de secrétaire car déjà j’ai un peu de temps, donc plus facile pour l’administratif et de plus je suis hyper rigoureuse, donc je veille au grain pour l’administratif, et j’exécute les demandes du président (pas toutes non plus, faut pas abuser!).

Laisser un commentaire